Soeur Irène-Emmanuelle a fait profession solennelle au Carmel de Plappeville

Dimanche 15 octobre 2023, fête liturgique de sainte Thérèse d’Avila, le Carmel de Plappeville était dans la joie pour la profession solennelle de sœur Irène-Emmanuelle de l’Amour de Jésus transpercé, marquant son engagement définitif dans la communauté. La célébration était présidée par Mgr Philippe Ballot, évêque de Metz.

La grande famille du Carmel était réunie pour cet événement. Cela faisait 35 ans que le Carmel de Metz n’avait pas eu de voeux définitifs. C’est donc un évènement pour la communauté, mais aussi pour le diocèse. Étaient présents autour des soeurs, plusieurs prêtres des diocèses de Strasbourg et Metz, des laïcs en lien avec la spiritualité carmélitaine ou des amis de la communauté, sans oublier la famille et les proches de soeur Irène-Emmanuelle.

La liturgie s’est ouverte par un mot d’introduction de l’évêque se réjouissant du parcours de soeur Irène-Emmanuelle et invitant chacun à entrer dans la compréhension de son engagement.

Après la proclamation de l’Évangile, un premier dialogue d’engagement a eu lieu entre la soeur professe et l’évêque, puis la prieure. Est ensuite venu le temps de l’homélie de Mgr Ballot, faisant le lien entre les textes de la fête de sainte Thérèse d’Avila, la règle du Carmel et la vie de soeur Irène-Emmanuelle.

Ce fut ensuite le temps de l’engagement solennel. La soeur a engagé un nouveau dialogue avant la litanie des saints en prostration devant l’autel.

Soeur Irène-Emmanuelle a esnuite fait sa profession solennelle devant sa prieure, avant la bééndiction de l’évêque. Enfin, elle a reçu les insignes de la profession : tout d’abord le voile noir (qui remplace le voile blanc), l’alliance, la croix et le livre de prière de la liturgie des heures.

La prieure a enfin accueillie la nouvelle soeur dans l’Ordre des carmélites déchaussées : « Désormais, tu as tout en commun avec nous. » Soeur Irène-Emmanuelle a donné un baiser de paix à toutes ses soeurs.

La liturgie s’est poursuivie avec le Credo, la prière eucharistique et les rites de communion et d’envoi. À la fin de la messe, « à journée extraordinaire, autorisation exceptionnelle« , après la bénédiction finale et la photo souvenir de la communauté rassemblée autour de l’évêque, les participants ont été autorisés à entrer en clôture pour un temps de rejouissances fraternelles autour d’un verre de l’amitié.

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