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La Croix Saint-Clément

Gorze, Ancy-sur-Moselle, Arry, La Lobe, Dornot, Novéant-sur-Moselle

Contact : Abbé Jérôme Petitjean
7 rue Jeanne d’Arc
57130 Ars-sur-Moselle
Tél. 03 87 60 71 50
Email : jepetitjean@orange.fr

Horaires des messes

Retrouvez tous les horaires des célébrations sur www.messes.info

Gorze

Historique

Couronnée de très belles forêts, Gorze se blottit au creux du vallon de la Gorzia.

Autrefois Gorze s’appelait : Gorzia en 762, Gorze en 1365, Gourze en 1433, Gorxe en 1512. Si le nom de l’antique Gorzia est déjà cité en 762, après la fondation de son abbaye bénédictine par l’évêque Chrodegang de Metz, l’existence de Gorze semble bien antérieure à cette époque.

Son histoire évoque les premières années de notre ère, où les Romains ont capté les sources au-dessus de Gorze et on construit un conduit souterrain, puis un aqueduc monumental pour alimenter la ville de Metz en eau potable. On rapporte aussi que St Clément, premier évêque de Metz, fonda un ermitage à Gorze au cours du IIIème siècle.

En 749, l’évêque de Metz, Chrodegang, fonde l’abbaye de Gorze, il y déposa en 765 les reliques de Saint-Gorgon ramenés par lui de Rome. Le monastère rayonna dans toute l’Europe et devient le centre d’une seigneurie indépendante : « La terre de Gorze ». Les guerres et les invasions du XXVème et du XVIème siècle ont détruit cette vénérable abbaye dont les ruines n’ont plus été relevées.

L’EGLISE COLLEGIALE

Au XIIème et XIIIème siècle, est construite l’église Saint-Etienne, le plus ancien édifice gothique de Lorraine à la place de la « Casa Sancti Stephani » érigé en 1077 par le moine bâtisseur Henri le Bon, abbé pour le peuple du bourg groupé autour de l’abbaye. Selon la chronique, il restaure l’abbaye et bâtit sept églises. Placée sous le patronage de Saint-Etienne, elle a subit bien des vicissitudes et a été reconstruite et restaurée à plusieurs reprises. Elle servit d’église collégiale de la sécularisation (1572) à la révolution. L’église est orientée.

L'extérieur

Vue de l’extérieur elle est romane, à l’intérieur elle est résolument gothique. Eglise de transition quant au style, c’est un des premiers témoins de l’art gothique en Pays Messin.

Son vieux clocher, édifié sur la travée du transept (le doigt de Dieu) est rectangulaire (9 m sur 6m). Il ne possède plus qu’un étage, éclairé par des fenêtres géminées. Le deuxième étage a disparu au XVIème siècle au cours d’un incendie. Le bulbe surmontant le clocher, peu en rapport avec le style de l’église, a été construite en 1824 et a remplacé une toiture à quatre pans.

La façade formant pignon est ornée d’une rosace et d’un portail moderne dont le tympan représente la lapidation de St-Etienne.

Les élévations latérales sont ponctuées de contreforts alternant avec d’étroites fenêtres – simples lancettes – de la nef et des bas-côtés.

La façade nord, romane, est percée de deux portails. La petite porte, réservée autrefois au clergé, est sommée d’un arc en plein cintre. L’arcade trilobée met en scène un « jugement dernier » à sept personnages : un christ juge, assis, lève ses mains ouvertes, à ses pieds, à droite, un défunt se dresse hors de son tombeau, les yeux ouverts à gauche, un « maudit », les yeux fermés s’arc-boute dans la gueule d’un dragon.

L'intérieur

L’édifice a trois nefs de cinq travées éclairées de hautes fenêtres. Dans la nef centrale des fenêtres aveugles donnent dans les combles des bas-côtés. Les piliers sont monocylindriques, à chapiteaux sculptés de crochets. Dans la nef, seules deux têtes forment culots.

Le transept s’ouvre sur les trois absides à pans coupés. Le chœur est éclairé par six hautes fenêtres. La voûte du chœur est surmontée d’une tête d’abbé mitré et celle du transept nord présente une clé à cinq têtes.

Le décor et l’ameublement anciens ont disparu. Nous devons aux chanoines la majestueuse boiserie en chêne sculpté du chœur (1744). Ces boiseries, de style rocaille, encadrent six toiles représentant des scènes de l’Ancien et du Nouveau Testament.

Les panneaux inférieurs qui portaient des emblèmes religieux ont été mutilés par les révolutionnaires en 1793.

Le maître autel et les autels des absidioles datent de 1860 et la chaire à prêcher est de 1885.

Dans le bas-côté nord, au-dessus de la porte royale, est suspendu un Christ en bois polychrome attribué à l’école de Ligier Richier. Le millésime 1764, au bas de la croix, indique une restauration.

Le palais abbatial

Nous le devons à un abbé commendataire Philippe Eberhardt de Loewenstein apparenté à la Maison régnante de Bavière. Il nous rappelle l’illustre abbaye et a succédé au château abbatial de l’abbé Vary de Dommartin incendié au moment du siège de Metz en 1552.

Les travaux sont entrepris au cours de l’année 1696 et, menés rondement et s’achèvent en 1699.

Son plan est en forme de « U ». Il comporte un bâtiment central rectangulaire, encadré de deux pavillons prolongés par deux ailes en retour d’équerre. Le corps central et les ailes sont coiffés de toits à la Mansart. Une toiture à quatre pans couvre les pavillons. L’ensemble est couvert d’ardoises.

Le prince abbé séjourna très peu dans son château. Ses successeurs ne firent, eux aussi, que de brefs séjours à Gorze. Par contre, l’abbé de Chevreau, doyen du chapitre occupa un appartement jusqu’à la Révolution.

La chapelle Saint-Clément

La chapelle Saint-Clément est chère aux habitants de Gorze. Elle se cache dans la forêt. On peut s’y rendre à pied ou en voiture en partant de l’église collégiale du village et en empruntant la rue des Fèves et continuer quelques centaines de mètres. Arrivé sur les lieux, on découvrira la chapelle ainsi qu’un autel dit des « lépreux ». Les vitraux de cette chapelle avaient été dégradés, cassés par endroit. Le conseil de Fabrique, après délibération a décidé de les réparer ce qui a été fait et différents travaux de consolidation ont été effectués.

C’est Mangin Chavais, curé de Hageville et archiprêtre de Gorze, qui par dévotion pour Saint-Clément fit construire cette chapelle en 1603. Ce brave curé légua ses biens au conseil de Fabrique de Gorze pour subvenir aux besoins d’entretien de cette chapelle. Modeste, elle se termine par un choeur à voûte gothique. A l’intérieur, on découvre un autel de style grec avec une niche abritant une statue du saint, une grille de communion et une tribune.

Contacts

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Ancy-sur-Moselle

Historique

Historique de la paroisse

L’église était à l’origine une maison forte entourée de remparts imposants ; il en subsiste une tour

ronde et une portion du second mur d’enceinte. Le bâtiment fut brûlé ou dévasté à plusieurs reprises

(voir les épitaphes de la façade). La tour du clocher est romane (XII » siècle) ; l’église actuelle date de la fin du XV » siècle ; son intérieur a été fortement remanié au XVIIIème siècle (boiseries du chœur, chaire Louis XV). Les vitraux modernes sont de l’artiste messin Hilaire ; le tympan, dû au sculpteur meusien Claude Michel, a été inauguré en 1967. Le cimetière attenant conserve une vingtaine d’épitaphes anciennes, scellées dans les murs.

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Arry

Historique

Cette église a été bâtie à la place d’une église primitive détruite par un incendie en 1201. Elle était la possession des religieux de l’abbaye de Saint-Arnould, lorsque leur abbaye devint définitivement propriétaire de l’église d’Arry.

L’édifice au caractère d’une forteresse destinée à la protection de la population en cette période mouvementée du début du 13ème  siècle. La Lorraine fut en effet plongée dans une grande insécurité pendant quatre siècles (début 13ème  jusqu’au 17ème siècle).

Une chapelle latérale dédiée à la Vierge (côté Sud) a été ajoutée au 14ème siècle.  La sacristie et la porte d’entrée datent du 17ème  siècle. C’est de ce moment seulement, que date la transformation de l‘église pour en faire un édifice exclusivement réservé au culte.

Vue de l’extérieur, l’église a cependant conservé l’aspect sévère d’une forteresse d’où était bannie toute décoration superflue. Seule, la porte d’entrée, massive et étroite, est surmontée d’une niche qu’agrémente une statuette un peu naïve représentant Saint Arnould assis. Au-dessus de cette niche, comme sur les murs latéraux s’ouvrent d’assez rares fenêtres, sept au total, terminées par un arc en plein cintre, d’allure typiquement romane. La chapelle de la Vierge, légèrement décrochée vers l’intérieur par rapport au mur du collatéral et la partie basse du donjon, est éclairée par des baies à lancettes d’allure plus récente.

L’intérieur offre, lui, plus de diversité. Quatre parties distinctes le constituent.

Une nef principale rectangulaire, de 14 mètres sur 8. Cette nef, non voûtée, surmontée initialement d’une terrasse, est dotée à un peu moins de 8 mètres de hauteur, d’un plafond en lambris, entièrement refait en 1873, après de longues discussions entre le Conseil municipal et le Conseil de fabrique, partiellement réparé en 1968 et, complètement rénovée en 1980.

Une nef collatérale, de 4 mètres de largeur, dont le plafond est un peu plus bas que celui de la nef principale, est, manifestement, un agrandissement de l’église à une date, néanmoins, assez proche de la construction première de l’édifice.

Le choeur, qui prolonge la nef principale, sous la tour-donjon, est la partie de l’église la plus remarquable. De forme générale rectangulaire comme le donjon, il est constitué de deux parties distinctes, chœur proprement dit et avant-choeur, chacune construite sous une voute sur croisées d’ogives qui, à l’époque moderne et jusqu’en 1976, étaient recouvertes d’un crépi grisâtre.

L’avant-choeur est séparé de la nef par un assez puissant arc triomphal du même style, reposant sur deux colonnes aux chapiteaux sculptés, l‘un de feuillages, l’autre de fines têtes expressives.

Lorsqu’en 1976 fut entreprise, par les Beaux-arts, la réfection du choeur dont les crépis avaient beaucoup souffert durant la période pendant laquelle la toiture, malmenée par les bombardements de 1944, laissait passer pluie et humidité à l’intérieur de l’église, une surprise attendait les artisans qui en étaient chargés. Sous les premiers coups d’outils destinés à gratter le vieux crépi, apparaissaient en effet, des traces de peintures à fresque. Le travail de remise en état fut alors orienté vers la mise à jour de ce qui pouvait constituer une décoration dont nul, à Arry, n‘avait le souvenir. Le style même des fresques rappela, d’emblée, celui de la décoration d’une église voisine, celle de Sillegny, ornée ainsi vers 1540.

Un artiste peintre, travaillant pour les « Bâtiments de France », s’attela a la restitution du décor et y consacra une grande partie du printemps et de l’été 1976. On reconnait, au-dessus du triplet (trois baies à lancettes ouvertes dans le mur de fond du choeur percé dans le mur oriental), le buste du Christ de l’Apocalypse, jugeant les morts qui ressuscitent de leurs sarcophages ouverts. Sur la voûte, les instruments de la Passion.

Les symboles des évangélistes se lisent dans les quatre panneaux qui convergent vers la clef de voûte de la première travée (l’avant-choeur) ; le corps d’un saint, debout, a été coupé par la fenêtre percée dans le mur Nord de la seconde travée de l‘abside. Des rinceaux de feuillage déroulent dans les intervalles leurs volutes d’un vert acidulé. Toutefois, un autre décor, fait d’un semis de petites étoiles d’un rouge éteint sur fond blanc, se devine encore sans peine et s‘intercale entre les compositions des 13ème et 16ème  siècles. On pense que c’est au 18ème  siècle que s’est produit ce recouvrement des fresques par un crépi. Un des curés de l‘époque, Toussaint Genot, Nicolas de Rouvre ou François Marchand, a-t-il voulu faire disparaitre un sujet de distraction pour ses paroissiens ?

La petite chapelle de la Vierge, édifiée en retrait du choeur et moins haute que lui, est datée du 14èmesiècle. Cette chapelle a été longtemps le lieu de sépulture des familles seigneuriales d’Arry. Une plaque de marbre noir le mentionne.

Il y a d’assez nombreuses sépultures dans le sol même de l’église. C’est ainsi que de 1673 à 1735, en 62 ans, les registres paroissiaux mentionnent vingt-deux inhumations de ce genre. Elles concernaient habituellement les membres des familles seigneuriales, les curés de la paroisse, les échevins. Les registres montrent que les seigneurs et les curés étaient ensevelis dans le haut de l’église, alors que les bourgeois n’avaient droit qu’aux abords de la porte d’entrée.

La guerre 1939-45 et la destruction du village qui en avait été la conséquence n’avaient certes pas, épargné le domaine paroissial. L’église proprement dite n’avait, par bonheur, été touchée directement, ni par le bombardement, ni par l’incendie. La toiture et les diverses ouvertures étaient, néanmoins, sérieusement endommagées.

En 1966 la totalité des charpentes et des toitures, tant de la nef que de la tour donjon ont été refaites. Les murs extérieurs ont également été refaits de 1967 à 1973. La restauration intérieure a été entamée, en 1974, par la chapelle de la Vierge et, en 1976, par celle des voûtes du choeur,

L‘annexion et la guerre ont atteint directement les cloches d’Arry. En 1917, en effet, les autorités allemandes, à court de métaux non ferreux, ont confisqué les trois cloches qui existaient alors.

Ce n’est qu’en 1925 que le clocher d’Arry retrouvera sa voix. Une souscription dans la localité ayant recueilli 11 725 francs, la commune et la fabrique contribuant pour 18 000 francs à la dépense, trois nouvelles cloches ont été installées. La plus grosse, d’un poids de 834 kg, sonnant le « fa ». Elle s’appelle Jeanne. La seconde, d’un poids de 588 kg, sonnant le « sol » est dédiée à saint Arnould La troisième cloche, d’un poids de 418 kg, sonne le « la » et est dédiée à Saint Livier.

Sauvegardée de la destruction qui, à l’automne 1944, avait touché 80% des immeubles du village, l‘église, dans son état actuel, se présente certainement peu différemment de ce qu’elle était déjà il y a trois siècles, après les remaniements successifs dont elle a été l’objet. Cette longue histoire lui a valu d’être classée monument historique.

Conseil de Fabrique – septembre 2002 – Extraits de ARRY, mon village … du Général Guy Menuat.

Contacts

Conseil de. Fabrique :

Présidente : Mme Micheline BERCHE

Trésorier : M. Dominique KNOBLOCH

Membres : Mmes Bernadette BOUR et Nathalie DEVELOTTE, M. Jean-Claude GLAIRET.

La Lobe

Historique

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Contacts

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Dornot

Historique

La première chapelle dédiée à St Clément, paraît avoir été édifiée vers 1456. Le démantèlement de l’abbaye de Gorze a pour conséquence le rattachement des paroissiens de Dornot à l’église d’Ancy.

Il faut attendre 1881 pour voir le village érigé en paroisse.

La construction de l’église daterait de 1652 et son agrandissement de 1784. La statue de St Clément située dans le tympan surmontant le portail pourrait dater de cette époque. La construction du clocher de style lombard, ainsi que la réalisation du maître autel en marbre remonte à 1822. Une horloge y est installée en 1848 alors que deux nouvelles cloches, Marie-Reine-du-Monde et St Clément sont baptisées le 6 novembre 1960. A remarquer : le beau chemin de croix peint sur toile, le dallage en pierre de Servigny, comparable à celui de la cathédrale de Metz, le plan incliné du sol vers l’autel épousant la pente naturelle du terrain. Le clocher, illuminé le soir, se détache harmonieusement sur les coteaux de Moselle.

(Texte E Karmann)

Contacts

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Novéant-sur-Moselle

La paroisse de Novéant vous souhaite la bienvenue dans son église et dans sa communauté.

Notre église date du 19ème siècle. C’est une église grange, considérée à juste titre, comme la plus belle de la région,notamment pour sa décoration intérieure.

Outre l’Eglise, il y a dans notre paroisse une croix de mission du 19ème siècle ainsi qu’une grotte de Lourdes.

Historique

En 933 une charte de l’évêque ADALBERON nous apprend que NOVEANT était constituée de deux agglomérations paroissiales distinctes : le hameau de l’Aître, dont l’église était sous l’invocation de St Genest et le hameau du Cloître, dont l’église datant au moins du Xème siècle était sous l’invocation de St Martin . Nous avons perdu le souvenir de celle-ci.

L’ancienne église St Genest était une fort belle construction datant elle aussi au moins du Xème siècle, elle s’apparentait à celle de Rozérieulles. Les tilleuls plantés dans la rue du Château, un par colonne devaient en conserver le souvenir. En 1792 Novéant était composé de 3 hameaux qui se touchaient : le Cloître, le Berceau et l’Aître. L’église actuelle est née de l’initiative du propriétaire du château, Legoux de Neuvry et des œuvres du curé Michel VOGELGESANG.

Fin de construction : 1838 – Style : Eglise grange

Bénédiction : le 4 juin 1838

L’autel a été consacré à l’invocation de St GENEST, St FREDERIC et Ste HONOREE, martyrs, par Mgr Paul-Georges-Marie DUPONT des LOGES, Évêque de METZ, le 24 juin 1844.

Dimensions internes : L : 47m l : 15,63m h :10,80m

Restaurations : après la guerre 1914 – 1918

1963 : plafond, charpente, toiture

1995 : peintures intérieures

Titulaire : St Genest, martyr, fête le 26 août

Aménagement : 500 places assises

4 cloches : Jeanne d’Arc : 1200 kg ‘’mi’’ 1922

Marguerite : 815 kg ‘’fa #’’ 1922

Marie : 537 kg ‘’sol # ‘’ 1883

Marie-Thérèse : 345 kg ‘’si’’ 1922

  • Statues de Novéant

Autour du chœur :

Sacré-Cœur, St Joseph, St Antoine, Ste Catherine, St Martin St Nicolas, St Vincent, St François-Xavier

Intérieur près du chœur :

Ste Vierge, St Genest, Ste Jeanne d’Arc (offerte par la famille Genot), Ste Thérèse

Intérieur dans le fond :

Ste Elisabeth, Notre-Dame de Bonsecours, Notre-Dame de Lourdes, Christ de Pitié, Sacré-Cœur de Jésus, St Antoine.

A noter :

Un chemin de Croix remarquable (unique dans la région).

  • Vitraux

Dans le chœur :
Rosaire St Dominique, Communion de Ste Jeanne d’Arc (offerte par la famille Houin)

Intérieur :
les vitraux de la nef représentent en médaillon les saints côté épître, les saintes côté évangile.

  • Objets anciens de Novéant

Statue de la Vierge et l’enfant (XV è siècle)

Christ de Pitié daté de 1715

Christ en ivoire (XVIIIème siècle) de l’abbaye Saint Arnould

Fonts baptismaux datés de 1698 (de l’ancienne église)

Ces trois premiers sont classés aux monuments historiques.

La statue de la Vierge est fixée dans la petite chapelle à l’église.

  • Historique des curés de la paroisse

Bachelier 1802-1812 (départ de 1789 à 1802)

Manel 1812-1819

Barthélémy 1819-1825

Woirgarg 1825-1830

Vogelgesang 1830-1853

Mangenot 1853-1858

Humbert 1858-1867

Pierrard 1867-1881

Lallement 1881-1890

Collin 1890-1894

Moy 1894-1907

Bour 1907-1911

Bentz 1911-1930

Stauder 1930-1933

Henrion 1933-1951

Nassoy* 1940-1941

Charpentier* 1941-1945

Holveck 1951-1980

Blum* 1981-1994

Bier* 1994-2006

Kontzler 2006-2008

Kozlowski 2006-2015 (Archiprêtre)

Triponey 2015 –

Palau 2008-2014 prêtre coopérateur

Thibaut 2014 – prêtre coopérateur

Note : * Nassoy et Charpentier : administrateurs pendant la guerre

* Administrateurs depuis 1980 : Blum et Bier

* Henrion : cure interrompue de 1940 à 1945

  • Détail du chemin de croix

Le chemin de croix a été créé au XIIIème siècle par les Franciscains.

Le Pape Clément XII, en 1731, les autorise dans les autres églises.

Jean-Paul II, le modifie

Croix de mission

C’est un ancien calvaire de 1824 transformé en Croix de Mission en 1899 sous l’abbé MOY.

On peut y lire :

« Priez devant cette croix

Trois Pater, Ave, Gloria

Indulgence de cinq ans »

(Léon XIII 1882)

Elle a été restaurée en 2009 par l’entreprise Clément de Chambley.

Grotte de Lourdes

C’est sous la houlette de l’abbé HENRION, curé de NOVEANT, que la grotte a été élevée, suite aux effroyables bombardements de l’artillerie américaine.

En septembre 1918, un obus avait éventré l’église et pulvérisé la statue de N. Dame de Lourdes qui y était vénérée.

C’est avec l’aide de la population de Novéant et d’habitants de communes environnantes qu’elle a été construite,

les pierres ont été extraites du flanc des coteaux.

La grotte a été bénie le 28 juillet 1935 par l’archiprêtre PARANT curé de Gorze et appelée à cette occasion N. Dame de la Vallée.

Ce jour l’à, l’abbé HENRION définissait le symbole de la grotte qui désormais exprimerait la pieuse reconnaissance de la population de Novéant, unie dans le culte de Dieu et l’amour de la Patrie retrouvée.

Orgue

Don de M. JACOB

1860 : installation par Stolz

1880 : installation d’un nouvel orgue neuf de Pierre Rivinach

Entièrement reconstruit par Dalstein-Haerpfer en 1905 qui en fit son opus (œuvre) 179

Il comporte deux claviers . 26 jeux au total.

Composition :

grand orgue : – 56 notes

– Récit expressif : 56 notes

– Pédale : 30 notes

– 5 sommiers

– Diapason : La à 440 Hz

1965 : transformation par Haerpfer – Erman

1984 : relevage par François Delangue

1990 : relevage par Théo Haerpfer

2015 : réfection complète par

Jean-Christophe Guerrier

Les activités de l'équipe paroissiale

L’équipe paroissiale, composée de bénévoles motivés, assure divers travaux dans l’environnement de l’église et du presbytère.

Outre ceci, deux activités principales reviennent chaque année :

L’organisation de la marche, randonnée pédestre appelée « La Novéantaise » se situe toujours le jeudi de l’Ascension. Il s’agit de 3 circuits très prisés des familles.

5 km accessibles à tous

10 km pour ceux qui veulent aller plus loin

20 km pour les plus sportifs.

Le Départ est à partir de 7 h 30, des jardins du château BOMPARD de Novéant. Des collations gratuites sont offertes aux contrôles. Pour ceux qui le désirent une restauration rapide et des boissons sont proposées dans la cour du château Bompard. Chaque année les circuits changent afin de mieux faire connaître notre village et son environnement. Une participation de 2 € par adulte est demandée en 2012, reconduite en 2013.

La kermesse, elle a lieu le premier dimanche après le 1er novembre, celle –ci se déroule à la salle polyvalente. Il y en a pour les grands et les plus petits.Le thème de la kermesse change tous les ans et donne lieu à une décoration originale. Outre différents stands, le traditionnel baeckeoffe, très apprécié des gourmets, tient une place de choix.Tous les ans une animation différente est programmée.

Pour ceux qui ne connaissent pas notre kermesse nous les invitons à nous visiter, ils passeront un dimanche après-midi agréable.

La totalité des bénéfices retirés sont investis dans la paroisse.

Contacts

Le Conseil de Fabrique de Novéant :

– le curé : l’abbé Cédric TRIPONEY (membre de droit)

– le maire : M. Philippe RENAULT (membre de droit)

– la présidente : Mme Christine QUETEL.

– le trésorier : M. Emmanuel BRONNER

– la secrétaire : Mme Anne COQUE

– autres membres : Mmes Eliane DOMINI et Paola D’ANDREA

Baptême, communion, confirmation, funérailles, mariage, service des malades...

Baptême des enfants de plus de 3 ans, prendre contact avec le prêtre.

Première communion : votre enfant a 10 ans ou plus, les inscriptions se font lors d’une réunion au début de l’année scolaire. Vous en serez avisé par lettre remise à l’enfant.

Profession de Foi et Confirmation : à l’âge de 13 ans, votre enfant est invité à préparer sa profession de Foi et sa Confirmation.

Cette préparation se fait en 2 ans.

La 1ère année se termine par la profession de Foi, lors de la veillée pascale.

La 2ème année par la Confirmation.

Les inscriptions sont faites en début d’année scolaire auprès des catéchistes :

Mariage : prenez contact le plus tôt possible, au moins 3 mois avant avec le prêtre. Renseignez-vous sur le lieu et la date de votre baptême. Les démarches de la paroisse en seront facilitées.

A l’occasion de votre mariage, vous êtes invités à participer aux frais de l’église, pensez à prendre contact avec Emmanuel BRONNER (trésorier)

Funérailles : prenez contact avec le prêtre pour préparer avec lui ce moment de prière. Vous pouvez aussi prendre contact avec :

Christiane LENCZNAR

Si vous souhaitez faire célébrer une ou des messes pour vos défunts, contacter le prêtre (après un office ou par téléphone) ou Christiane LENCZNAR.

Service des malades : si des personnes de votre entourage sont malades, handicapées, etc. et souhaitent des sacrements (confession, communion, sacrement des malades,…) prenez contact avec les prêtres.

Pour les fêtes de Pâques, Toussaint et Noël, les personnes âgées et malades ne sont pas oubliées. Le Curé de l’Ensemble Paroissial accompagné de bénévoles leur rend visite et porte la communion.

Catéchèse scolaire en primaire : 1 heure par semaine :

Chorale : Si vous aimez chanter, venez chanter le Seigneur, c’est une grande joie.

Lien Paroissial :tous les quinze jours, un « bulletin » est mis à votre disposition à l’Eglise.

Ce document mentionne :

les évènements de la vie paroissiale

les lieux et horaires des messes du dimanche et de la semaine, les baptêmes, les mariages, etc…

Le Bulletin paroissial est affiché aux portes de chaque église et mis sur le site.

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