Journées autour du père Marie Joseph

Célébrer les merveilles du Seigneur

Il y a 25 ans, le 27 juillet 1993, le père Marie Joseph entrait dans la vie de Dieu. C’est pour faire mémoire de son Dei Natalis que la famille franciscaine de Moselle s’est retrouvée durant trois jours à Bitche. Toutes les générations étaient représentées parmi la centaine de participants à cette session. Les enfants ont vécu des ateliers, la jeunesse franciscaine a proposé un jeu scénique le samedi 28, et les adultes, principalement membres d’une fraternité franciscaine séculière, ont reçu des enseignements du père Eric Bidot, provincial des capucins, et du père André Menard, vice postulateur de la cause de béatification du père Marie Joseph.

« Il disait que l’union au Christ, si elle est forte et régulière, permet à chaque personne de s’épanouir humainement et spirituellement. Le croyant doit faire en sorte que la vie chrétienne ne soit pas simplement un vernis sur nos existences mais le fondement même, l’amour en étant la source et l’espérance le chemin. »[1]

Cette session était proposée et organisée par l’Ermitage Saint-François, association dont le but est de promouvoir l’enseignement du père Marie Joseph, et de contribuer à sa réputation de sainteté. Roland Wetzel, président de l’association, a ouvert ces journées en insistant sur la dimension paternelle du père Marie Joseph, un père qui sait écouter, accompagner, encourager, mais aussi stimuler ceux qui lui sont confiés par la providence. Les ateliers qui ont été proposés le samedi après-midi ont permis aux participants de rencontrer plusieurs lieux d’Église chers au père Marie Joseph, comme l’institut Notre-Dame de vie, représenté par le père Claude Sarrazin.

Le dimanche matin, Monseigneur Lagleize a rejoint les participants pour une messe d’action de grâce pour la vie et l’enseignements du père Marie Joseph. Il a ainsi confirmé l’intérêt du diocèse pour cette figure spirituelle, dont l’enquête diocésaine a été ouverte le 1er décembre 2017.

 

[1] Extrait de l’intervention du Père André Menard.

 

 


Partager