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Mercredi 20 octobre

Commentaire de l’évangile du jour: « À qui l’on a beaucoup donné, on demandera beaucoup » (Lc 12, 39-48)

Saint-Paul nous éclaire sur le péché, ses conséquences et notre prise de position face à ce dernier. Et il dit clairement que le péché mène à la mort, alors que l’obéissance à Dieu mène « à la justice ». Ici, en opposition à la mort, nous aurions pu nous attendre à ce qu’il dise « à la vie ». Finalement, la justice n’est elle pas un moyen d’atteindre la vérité ? On rejoint ici ce que Jésus dit à Thomas : « Je suis le chemin, la vérité et la vie » ( Jean 14, verset 6). Le combat contre le péché est donc primordial, pour que notre vie soit tournée vers la justice. Mais seuls, nous ne pouvons résister. Et Saint-Paul nous dit clairement  « vous êtes sujets de la grâce de Dieu ». Et c’est par l’enseignement reçu, c’est à dire la Parole de Dieu, que nous sommes en mesure de combattre le péché. Cette Parole nous éclaire. Il nous faut la méditer, prier pour que l’Esprit-Saint nous donne de nous ouvrir à sa compréhension, de discerner afin qu’elle nous rende capables de vivre dans cette démarche de justice et d’attention à nos frères et sœurs. Bref, que cette Parole s’incarne dans notre quotidien.

Et Saint-Luc vient nous bousculer dans notre routine, lorsqu’il nous dit :  « Vous aussi, tenez-vous prêts, c’est à l’heure où vous n’y penserez pas que le Fils de l’homme viendra ».

Suis-je cet intendant fidèle, entrain d’agir, ou ce serviteur négligent, qui n’a rien préparé, parce que le maître tarde à venir ?

Dans notre société qui prône les plaisirs, les loisirs, le « Il faut en profiter, s’éclater… » comment puis-je témoigner de cette vraie liberté que me donne le Christ ?

Serai-je au service quand le Christ viendra, ou serai-je tombé dans le confort de notre société qui me fait penser au bon grain tombé dans les ronces ?

Les sacrements, la prière et la Parole de Dieu sont le liant de notre Église. Sans ces trois piliers, nous ne pouvons durer. Mais attention, ils ne sont pas un moyen de nous soulager de nos engagements, mais bien un moyen de recevoir les grâces nécessaires pour nous mettre à la suite du Christ pour en rayonner dans notre quotidien. Et nous savons que ce n’est pas de tout repos. Mais ainsi que nous avons été plongé dans les eaux de notre baptême, il ne faudrait pas que ces eaux un jour s’assèchent.

Comme le dit le psaume : « Notre secours est dans le nom du Seigneur qui a fait le ciel et la terre »

Seigneur, donne-nous la grâce d’être et de rester au service de nos sœurs et frères et d’accomplir toujours ta volonté.

G Kintzig

 


Mardi 19 octobre

Commentaire de l’évangile du jour: « Heureux les serviteurs que le maître, à son arrivée, trouvera en train de veiller » (Lc 12, 35-38)

L’appel de Jésus à la vigilance est fréquent dans les évangiles. Aujourd’hui le Christ nous introduit dans la parabole du Maître et de ses serviteurs qu’il espère trouver à son retour des noces en train de veiller.

Nous savons par notre expérience spirituelle que le manque de vigilance est un piège redoutable car il entraîne la paresse, l’inquiétude, le divertissement, le souci exacerbé de soi, le repli sur soi, voire le mensonge ou l’hypocrisie par exemple. C’est donc pour nous préserver et nous protéger des pièges de notre nature non-encore-accomplie que Jésus appelle à la vigilance.

Dans l’attente, les serviteurs sont tournés uniquement vers le Maître comme nous sommes appelé à nous tourner vers Dieu ou dit autrement à demeurer présent en Dieu dans notre cœur c’est-à-dire au plus profond de l’être. Néanmoins, par expérience également, nous savons que vivre sans cesse tourné vers Dieu est chose pour nous impossible, Dieu le sait, Il sonde nos reins et notre cœur mais notre démarche n’est-elle pas sans cesse celle du fils prodigue, du retournement de son cœur vers Dieu pour le laisser nous étreindre et nous transformer dans son amour infini ?

Une autre information nous est donnée, le Maître revient des noces ! C’est étrange, de quoi s’agit-il ? Et pourquoi les serviteurs l’attendent-il ? Garder son cœur en éveil en attente de son retour, qu’est-ce que cela signifie pour nous ? Cette attente du Jour du Seigneur traverse toute la Bible mais avec le Christ, le Jour est là. En Christ, Dieu s’est uni à l’humanité, Il est devenu l’humanité. En Jésus-Christ qui est l’Homme accompli, divinisé, l’Humanité-accomplie ne fait plus qu’un avec Dieu. En somme, ce que le Christ est, nous avons à le devenir en accueillant « le don inouï de notre divinisation » pour reprendre  l’expression de François VARILLON. Si du côté de Dieu tout est accompli, du côté de l’humanité et de l’homme que nous sommes, tout est à faire, le chemin de la Ressemblance reste à faire et si nous croyons que Dieu existe, il nous faut engager le fond de l’être pour qu’il soit radicalement transformé dès aujourd’hui. Il ne s’agit pas en premier de faire des choses mais d’engager notre intériorité, notre être dans ces mutations successives que Dieu opère en nous par sa grâce et son amour car « c’est lui qui, la ceinture autour des reins, les fera prendre place à table et passera pour les servir ». Consentir à descendre, à mourir à nous-mêmes, à notre moi et renaître par la Grâce à la Vie même de Dieu, conscient de participer à la Vie divine. Et l’Esprit Saint conduira chacun sur la voie qui est la sienne.

Je conclus par cette phrase de François VARILLON « Dieu n’est qu’amour, donc la vie éternelle consiste uniquement à aimer, à sortir de soi, à ne pas penser à soi, à ne pas se replier, se recourber sur soi, à faire passer les autres avant soi. Tel est le bonheur du ciel » (extrait du livre « Joie de Vivre, joie de croire)

Myriam DUWIG


Lundi 18 octobre

Commentaire de l’évangile du jour: « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux » (Lc 10, 1-9)

Jésus envoie ses disciples en mission

Après l’envoi des Douze (Luc 9, 1-5),

«  Jésus envoie 72 autres disciples deux par deux devant lui dans les villes et localités où lui-même devait aller. » (Luc 10, 1).

 Jésus envoie ses disciples en grand nombre, deux par deux comme des frères unis dans l’amour du Seigneur. Il les envoie vers tous ceux qui sont disposés à entendre la Bonne Nouvelle de sa présence au milieu des hommes, Lui, l’envoyé de Dieu, le Messie, Lui qui a l’autorité du Père pour parler en son nom, Lui qui est la Bonne Nouvelle en personne.

Jésus veut que cette bonne nouvelle se diffuse au plus loin et au plus grand nombre, un peu à la manière de Jean le Baptiste dont la prédication préparait le terrain dans le coeur des hommes pour leur faciliter leur rencontre avec le Seigneur, leur rencontre avec celui qui vient, et qui est plus grand que tous.

Aujourd’hui encore Jésus ne cesse de venir nous rejoindre dans nos vies, il nous appelle et nous envoie, par la grâce de l’Esprit Saint reçu à notre baptême et par la foi qui nous anime. Il nous envoie pour témoigner de son message d’amour et de paix, pour témoigner de Celui qui est, qui était et qui vient.

« Priez le Maître de la moisson  d’envoyer des ouvriers pour la moisson » (Luc 10, 2).

Nous devons prier Dieu et lui demander son aide pour nous rendre disponibles à son appel missionnaire, et pour chasser nos peurs, comme celle par exemple de ne pas être à la hauteur, ou encore d’être bousculé, malmené.

Priez Dieu c’est mettre toute notre confiance dans le Seigneur, c’est accepter de nous laisser conduire par l’ Esprit Saint dans tout ce que nous faisons. C’est décider d’agir, de sortir de nous mêmes pour aller à la rencontre des autres au nom de Dieu. Il s’agit tout simplement de se présenter aux autres en toute vérité, en toute humilité.

Aujourd’hui notre monde a grandement besoin du témoignage des disciples du Christ, nous pouvons être réconfortés car la moisson malgré les apparences reste abondante. Je crois que cela peut s’expliquer par le fait que le coeur de chaque homme reste en attente de  la bonne nouvelle, un peu comme une jachère qui attend de recevoir la semence qui va donner du bon fruit. Tout ceci ne peut que nous engager à vouloir dévoiler à nos frères ce trésor qui nous habite, qui est  message d’amour qui nous vient de Dieu et qui ouvre nos coeurs à sa grâce.

« Je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups »(Luc 10, 3).

La tâche n’est pas de tout repos, les disciples de Jésus « doux comme des agneaux » seront soumis aux oppositions des uns, aux attaques des autres, aux persécutions, tout comme le Christ Lui-même qui a subi tous ces outrages jusqu’à donner sa vie sur la croix, qui est allé jusqu’au bout du sacrifice pour nous délivrer le message du Dieu qui nous sauve du mal, et nous accueille dans son royaume.

« En quelque maison que vous entriez, dites d’abord : « Paix à cette maison ».(Luc 10, 5).

Pauvres, sans argent les disciples reçoivent de Jésus la paix qu’ils doivent transmettre à leur tour et qui est à la fois signe de reconnaissance des enfants du Dieu qui nous aime, et signe d’introduction à la relation qui va s’établir entre les personnes de bonne volonté qui  se laissent toucher par la tendresse de Dieu.

A l’image de Sainte Thérèse qui nous dit : « du tout puissant j’ai revêtu les armes »Donne-nous Seigneur de rester pauvres et humbles, d’arriver à nous dépouiller de tout le superflu qui nous empêche de demeurer en Toi et d’aller vers les autres. Amen.

Ghislaine Lavigne

 


Dimanche 17 octobre – 29ème dimanche du Temps Ordinaire

Commentaire de l’Evangile du jour : « Le Fils de l’homme est venu donner sa vie en rançon pour la multitude » (Mc 10, 35-45)

Ce passage de l’évangile de Marc (10 ; 35-45) est construit sous la forme d’un dialogue entre Jésus et les fils de Zébédée, Jacques et Jean. Il se situe au moment de la montée de Jésus vers Jérusalem, en compagnie de ses disciples. Il vient de leur annoncer ce qui l’attend : sa Passion, sa mort et sa Résurrection. En réponse à cette déclaration pour le moins inquiétante, bouleversante, les deux frères lui adressent une requête qui peut paraître déplacée : « Accorde-nous de siéger, l’un à ta droite et l’autre à ta gauche, dans ta gloire », deux places honorifiques permettant de partager avec une personne importante une part de l’honneur qui lui est dû ! Jésus ne peut honorer cette demande de Jacques et Jean car il ne lui « appartient pas d’accorder ces places qui sont déjà préparées ». Il les invite à le suivre sur la voie que lui a choisie en leur disant « Vous ne savez pas ce que vous demandez. Pouvez-vous boire la coupe que je vais boire ? », la coupe de la Passion évoque la souffrance à endurer jusqu’au bout, jusqu’à la mort… Qui choisirait un tel chemin ?

« Nous le pouvons » répondent les 2 disciples. Jésus leur annonce sans autre précision : « La coupe que je vais boire, vous la boirez ; et vous serez baptisés du baptême dans lequel je vais être plongé ».

N’oublions pas les 10 autres disciples, témoins attentifs de cette scène. Jésus accueille leur indignation. Mais ne seraient-ils animés par la même préoccupation ? Il les appelle et il les éclaire sur la manière d’exercer l’autorité, comment la vivre au quotidien en restant ajustés à la Bonne Nouvelle du règne de Dieu. Jésus, avec une pointe d’ironie, évoque ceux qui s’estiment être les chefs en dominant pour exercer leur autorité ! « Parmi vous il ne doit pas en être ainsi. Celui qui veut devenir grand parmi vous sera votre serviteur… car le Fils de l’Homme n’est pas venu pour être servi mais pour servir ». C’est bien ce que Jésus a mis en œuvre durant toute sa vie. Par son autorité Jésus a libéré, restauré, fait grandir la vie… en occupant la place du serviteur. Il ira jusqu’à donner sa vie pour servir l’humanité toute entière, « en rançon pour la multitude » dont le montant est un amour surabondant de Dieu pour sauver son peuple.

Au final, qui sera à la droite et à la gauche de Jésus sur la Croix ? Les 2 brigands crucifiés avec lui… Jacques et Jean seront alors bien loin.

Comment ce passage d’évangile nous rejoint aujourd’hui frères et sœurs ? Ne sommes-nous pas nous aussi, appelés par notre baptême, à devenir serviteurs les uns des autres, des plus petits, des plus fragiles ? Ne sommes- nous pas invités à méditer sur notre manière d’exercer l’autorité, d’être au service ?

Comme Lui, n’hésitons pas à nouer le tablier, levons-nous chaque jour pour servir par amour… Comme Lui ! En offrant le pain de sa Parole aux gens qui ont faim de bonheur, en offrant le pain de sa Promesse à ceux qui ont faim d’avenir… en étant bien simplement des signes d’espérance et de tendresse pour ceux qui partagent notre quotidien.

Danielle SCHUCK


Samedi 16 octobre

Commentaire de l’évangile du jour: « L’Esprit Saint vous enseignera à cette heure-là ce qu’il faudra dire » (Lc 12, 8-12)

Vivre au service de Dieu est exigeant car il nous faut avoir le courage de notre foi.

En effet, dans notre société actuelle, annoncer le nom de Dieu, de Jésus Christ ou de l’Esprit-Saint, ou simplement se déclarer chrétien, conduit la plus part du temps à faire l’objet d’incompréhension, de moquerie, de méfiance mais peut aussi conduire au rejet, à la persécution, voire à la mort dans certains pays. Et tout cela peut vraiment en refroidir plus d’un pour oser témoigner de sa foi.

Par cet Évangile, le Seigneur Jésus désire raviver notre foi et notre espérance en Lui.

Ainsi, l’appel reçu le jour de notre baptême à suivre le Christ de tout notre cœur retentit à nouveau  dans ce texte.

Oui, l’appel de Dieu est un choix d’amour mais aussi une grâce à recevoir avec un cœur humble et généreux.

Depuis toujours, Dieu appelle des femmes et des hommes à sa suite et nous en faisons partie.

Jésus nous fait confiance en ne cessant de nous offrir son amour par sa Parole, dans les sacrements et ce, tout au long de notre vie de tous les jours.

Nous devons être responsables de cet amour, de cette relation avec Lui et nous devons en prendre soin.

Soyons certains que le Seigneur nous donnera inlassablement sa force si nous la lui demandons avec un cœur pur afin que nous lui restions fidèles. Alors redoublons d’amour et d’ardeur pour le prier et le suivre.

Dans cet Evangile, même si certaines paroles de Jésus peuvent paraître sévères, il nous faut, avant tout, retenir comme message principal ce qui est dit à la fin du texte : « Ne vous inquiétez pas… car l’Esprit-Saint vous enseignera à cette heure-là ce qu’il faudra dire. » Jésus nous invite à ne pas l’abandonner mais à lui faire confiance.

Alors laissons-nous faire par Dieu, Père, Fils et Esprit-Saint. Donnons-lui de la place dans notre vie, dans notre monde, je dirais même : la première place. Il nous a promis d’être avec nous jusqu’à la fin du monde et jamais il ne cessera de nous couvrir de son amour et de son Esprit-Saint.

Claude Thiébaut.


Vendredi 15 octobre

Commentaire de la première lecture : « Abraham eut foi en Dieu, et il lui fut accordé d’être juste » (Rm 4, 1-8)

« Si quelqu’un, sans rien accomplir, a foi en Celui qui rend juste l’homme impie, il lui est accordé d’être juste par sa foi. » Voilà une des phrases qui a poussé Luther à réfléchir à la manière dont nous entrons au paradis, et à prendre ses distances avec l’Eglise catholique. Et au vu de ce qui se passait à l’époque, on comprend qu’il ait voulu briser le système en place, celui des indulgences, où l’on « achetait son paradis ».

Sans entrer dans la discussion pour savoir si la manière de faire de l’une ou l’autre des parties était la bonne ( à mon sens aucune ne l’était !), il nous faut réaffirmer avec St Paul cette prééminence du Salut gratuitement donné par Dieu ! Dieu ne nous récompense pas, il attend notre foi, il attend que nous répondions à cet appel qu’il met au plus profond de nous, celui de la vraie Vie.

Repartir de la foi, de ce rapport particulier avec Dieu, de ce rapport d’amour, de ce rapport de proximité, c’est certainement l’une des pistes qui peut nous sauver d’un pessimisme trop souvent énoncé dans l’Eglise. Car, oui, nous sommes moins nombreux, oui, nous ne sommes plus présents auprès des plus petits, oui… (je vous laisse compléter avec ce que vous voulez). Car Dieu est celui qui par amour nous donne la Vie. C’est Lui qui fait tout, il ne demande que notre volonté d’entrer dans son projet, d’y consentir.

Et entrer dans son projet, c’est aussi aller auprès des plus petits, des personnes éloignées, c’est s’engager pour la justice, pour la préservation de notre terre. Mais comme conséquence de l’amour, pas comme moyen  pour faire advenir ce royaume…

Accueillir l’amour de Dieu, donné gratuitement, et y répondre avec foi, en s’engageant, voilà le chemin que Dieu nous propose de vivre, ensemble. Voilà ce « synode » auquel nous sommes, chaque jour, appelés.

Stéphane Jourdain


Jeudi 14 octobre

Méditation du psaume du jour : Près du Seigneur, est l’amour,près de lui, abonde le rachat. (Ps 129, 7bc)

Chaque jour nous prions et demandons au Seigneur de protéger notre famille, nos amis. Plusieurs fois par jour nous nous tournons vers lui afin de nous accompagner sur le Chemin Quotidien.

Ce chemin qui peut être composé de ponts, de routes plus ou sinueuses, de petites pauses, d’orages, de soleil, d’amour, de partage, de rencontres.

Ce chemin qui peut être jonché de pierres permettant à notre libre arbitre de choisir de les transformer en ponts ou en montagne à gravir.

Ce chemin qui fut emprunté autrefois par les disciples qui ont eu des choix à faire. Des fautes qui ont trouvé, grâce à la Foi, la route du Pardon.

« (…) près de toi se trouve le pardon pour que l’homme te craigne ».

Lorsque des actes d’intolérance, d’irrespect sont perpétrés, le ou le(s) auteurs ont-ils pleinement conscience des conséquences… Les réseaux et les médias véhiculent bien des informations sur les actes répréhensibles qui sont perpétrés, cependant si nous nous arrêtons un instant nous pouvons constater que les actes de bonté et de bienveillance ont aussi leur place.

Nos actes ne sont pas toujours bons mais le Seigneur nous permet de pardonner tout comme lui nous pardonne.

Lorsque nous prions par exemple le Notre Père, nous évoquons consciemment : « pardonnes-nous nos péchés comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé ».

Le temps que nous nous accordons et que nous accordons au Seigneur pour nous repentir de nos actes et pensées qui ne sont pas respectueux par la confession est un temps de partage important.

Pardonner est un acte libérateur qui permet de poursuivre sa route en nous remémorant les erreurs du passé afin d’en retirer des apprentissages.

C’est un temps de partage qui nous est propre et qui nous permet également de réajuster nos attitudes.

La Foi permet de pardonner pour pouvoir s’améliorer.

Seigneur, pour être plus proche de toi aide nous chaque jour à emprunter le chemin de la tolérance, du respect, du pardon et de la bienveillance.

Natalia.


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