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Sacrements – Notre Dame de l’Espérance HG

Les sacrements

Le sacrement du Baptême

Le baptême est le premier sacrement de la vie chrétienne. Il est « la porte des sacrements ». C’est par lui que le croyant entre dans l’Alliance et commence à en vivre. Jésus déclare que le baptême est une nouvelle naissance, par laquelle on entre dans le Royaume de Dieu. En grec, baptême signifie plongée. Par le baptême, le chrétien est plongé dans le mystère du Christ mort et ressuscité.

Sur notre Communauté de paroisses tous les baptêmes sont célébrés à Hettange après la messe de 10h45 (vers 12h). L’inscription au baptême se fait au presbytère, aux heures d’ouverture du secrétariat, par l’un des deux parents, au moins deux mois avant la date du baptême.

La signature des deux parents est requise pour l’inscription.
Un certificat de baptême est requis pour le parrain et/ou la marraine.
Une réunion de préparation réunira tous les parents qui baptiseront leur enfant, le deuxième mercredi du mois précédent le baptême, à 20h15

Les gestes du Baptême

Le signe de l’eau : l’eau est signe de la vie. Sans eau, il n’y a pas de vie possible. L’eau que l’on verse sur le front du baptisé est à la fois signe de vie et de mort. Le baptême est signe de la mort au péché. Il est le signe que le baptisé accepte de mourir pour les autres, comme Jésus l’a fait. Il est aussi signe de vie, et même de vie éternelle. C’est Dieu qui est la source de cette vie là.

Le signe de l’huile : il suffit d’une petite goutte d’huile pour faire une marque indélébile. Avec une huile parfumée, le saint chrème, le prêtre marque le front du baptisé. C’est le signe de l’Esprit-Saint qui se répand en lui pour lui donner sa force et l’aider à rester toujours fidèle à Jésus. Le vêtement blanc : le blanc, dans notre culture, est le signe de la fête. Le jour de son baptême, le baptisé revêt un vêtement blanc, vêtement de fête. Le blanc est aussi la “couleur de Dieu”. Le baptisé a revêtu le Christ, il est un homme nouveau, c’est pourquoi, il porte un vêtement blanc.

La lumière : on donne au baptisé un cierge allumé pour dire que maintenant il est la lumière du Christ et que cette lumière doit briller autour de lui : « Vivez comme des fils de lumière. » (Saint Paul aux chrétiens d’Éphèse 5,8).

Questions courantes

Comment choisir un parrain, une marraine ?
Le parrain et la marraine représentent la communauté des chrétiens lors du baptême de l’enfant, et restent pour lui une référence en matière de foi. Il est important de choisir, comme parrain ou marraine, des personnes catholiques, croyantes, ce qui signifie qu’elles devraient être baptisées et confirmées. Sur notre communauté de paroisses nous demandons un certificat de baptême pour le parrain et la marraine.

Que faut-il faire pour baptiser un enfant ?
Si vous souhaitez baptiser votre enfant, vous devrez venir au secrétariat du presbytère où sera inscrit votre demande avec le jour du baptême. Il vous sera alors demandé de participer à une réunion de préparation, le mois précédent la date du baptême, au cours de laquelle vous découvrirez, avec d’autres parents, quel sens a pour vous le baptême de votre enfant et l’engagement que vous prenez alors : l’élever dans la foi chrétienne.

Peut-on être baptisé à tous les âges ?
Logiquement oui. Mais l’Église considère qu’entre 3 et 7 ans c’est difficile. Car l’enfant est à la fois trop grand pour comprendre ce qui lui arrive et trop petit pour qu’on lui explique. On reporte donc le baptême lorsque l’enfant est au CE2 (ou après). Il pourra ainsi prendre le temps de réfléchir à sa décision accompagné par un aîné dans la foi.

Le sacrement de l’Eucharistie

La veille de sa mort, pour montrer à ses amis combien il les aime, Jésus veut partager un dernier repas avec eux. Au cours de ce repas, il prend un morceau de pain, le bénit, le partage et le leur donne en disant : « prenez et mangez-en tous, ceci est mon Corps livré pour vous. » Ce dernier repas de Jésus est à l’origine de ce que les catholiques appellent la messe, la célébration de l’eucharistie. L’eucharistie est le « sacrement des sacrements », le « Saint sacrement ». Elle rend réellement présent l’auteur même de la grâce dans le don qu’il fait de sa propre vie sur la croix. Pour les chrétiens, c’est une vraie rencontre avec Jésus-Christ. Le pain et le vin sont le signe de la présence du Christ, de sa vie donnée pour tous. A travers le pain et le vin, corps et sang du Christ, ils reçoivent la vie même de Jésus ressuscité.

Drôle de pain

Pour participer au repas du Seigneur, on pourrait partager du pain comme celui que l’on achète chez le boulanger. Mais Jésus au cours de son dernier repas, à la Cène, a utilisé du pain sans levain. Aujourd’hui, les catholiques utilisent du pain fabriqué par des religieux avec de la farine et de l’eau, en souvenir des galettes que les Hébreux ont fait cuire avant leur départ du pays d’Égypte. Dans leur hâte, ils n’ont pas mis le levain, ils n’avaient pas le temps de laisser lever la pâte. La pâte est étalée très finement puis découpée en petits cercles. On lui a donné le nom d’hostie. Cf.Théo Junior Ed.Droguet & Ardant.

Communier, cela veut dire être en union avec les autres. Le chrétien ne reste pas seul avec Jésus dans son cœur. La communion l’invite à aller à la rencontre des autres, à partager avec eux cet immense Amour de Jésus, à donner sa vie comme Jésus. Un chrétien a besoin de cette nourriture, de cette vie de Jésus en lui pour avancer sur la route ; il peut recevoir ce sacrement de l’eucharistie aussi souvent qu’il le souhaite, tous les jours s’il le veut.

Ainsi, communier, c’est : partager avec ses frères, faire confiance, ouvrir son cœur, recevoir Jésus, se donner à lui et aux autres, partir en mission pour dire sa joie d’être chrétien, retrousser ses manches pour changer les choses : faire taire le mensonge, la violence, faire reculer l’injustice, la pauvreté.

La première communion

la première communion vient après une préparation au catéchisme
en paroisses. L’enfant apprend les grandes étapes de la vie de Jésus et
une première approche de la messe.
La première communion est une décision personnelle. La première communion inaugure en effet beaucoup d’autres communions.
Sur notre communauté de paroisses, les enfants peuvent se préparer à leur première communion lorqu’ils sont en CM1.
La préparation se fait sur une année, avec une rencontre par semaine (en-dehors des vacances scolaires) et la participation
à la messe dominicale et tout particulièrement aux messes des familles. Il est bon que les parents s’impliquent pendant
cette période. Ils peuvent parler à leurs enfants qui ont besoin de connaître leur position sur la question.
L’inscription se fait au presbytère d’Hettange-Grande au courant du mois de septembre et la préparation commence après
la messe de rentrée qui a toujours lieu le premier dimanche d’octobre.

Le sacrement de Confirmation

Jésus ressuscité promet à ses amis les Apôtres de leur envoyer le souffle de la vie de Dieu, son Esprit
qui les rendra courageux et capables d’aller dans le monde entier et de tous les peuples faire des disciples. Le jour de la Pentecôte,
les Apôtres reçoivent l’Esprit-Saint qui les jette dehors et leur donne la force de proclamer devant tous les habitants de Jérusalem
que Jésus est ressuscité. C’est ce même Esprit-Saint que les chrétiens reçoivent à leur tour dans le sacrement de confirmation ;
c’est la même mission qui leur est confiée, parler de Jésus au monde entier.

Les gestes de Confirmation

L’imposition des mains est un geste d’appartenance. Ce geste d’appartenance est également un geste de transmission. Les apôtres ont
imposé les mains pour transmettre l’Esprit (Actes des Apôtres 8,17 ; 19,6). Les chrétiens croient que l’Esprit-Saint donne le courage
d’aller vers ceux qui ne connaissent pas Dieu, donne la force de parler de Dieu, aide à vivre comme Jésus le demande et aide à être
témoin de l’amour de Dieu : « L’Esprit vient au secours de nos faiblesses » dit Saint Paul dans sa lettre aux Romains (Rm 8,26-27).

L’onction du saint-chrême : c’est la même huile parfumée que celle reçue au baptême ; l’évêque trace une croix sur le front du
confirmand avec cette huile sainte pour dire que l’Esprit-Saint sera toujours avec lui pour l’aider à connaître Dieu et à l’aimer
toujours davantage : « Sois marqué de l’Esprit-Saint, le don de Dieu. » Dieu le choisit comme témoin, il l’envoie annoncer Jésus
autour de lui.

Questions courantes

Quand peut-on être confirmé ?
Recevoir le sacrement de la confirmation est un choix personnel que l’on peut faire lorsqu’on est adolescent ou adulte : quand on
a compris que l’amour de Dieu reçu au baptême est un trésor que l’on ne peut garder pour soi, qu’il faut le partager.
Sur notre communauté de paroisses la préparation se fait sur deux années. On peut commencer à s’y préparer à partir de la quatrième
et être confirmé en fin de troisième.

Qui peut recevoir la confirmation ?
Des confirmations de jeunes et d’adultes sont régulièrement proposées. Ce sacrement est habituellement conféré par l’Évêque qui est
chargé de « confirmer ses frères dans la foi » ; c’est vers l’âge de 15-16 ans que les jeunes font cette démarche, après un temps de
préparation en équipe de jeunes ou dans un groupe avec des adultes. La célébration est présidée par l’Évêque ou son délégué.

Où peut-on nous aider à réfléchir sur la confirmation ?
La proposition du sacrement est faite le plus souvent dans les aumôneries de l’enseignement public et de l’enseignement catholique,
mais aussi en paroisse et parfois dans les mouvements de jeunes…

Le sacrement du mariage

Inscription des mariages : Nous demandons que l’inscription des mariages se fasse au secrétariat du presbytère le plus tôt possible et au plus tard 6 mois avant la célébration à l’église.
C’est le temps nécessaire à une préparation sérieuse, dans le calme, sans précipitation, pour les futurs époux, le célébrant, et les divers acteurs de la célébration. Pour les chrétiens, le mariage n’est pas seulement l’amour entre un homme et une femme. Il est aussi le signe de l’amour de Dieu pour les hommes, signe de son Alliance. C’est à travers leur amour mutuel,
dans toutes ses dimensions (partage des bons et des mauvais moments, l’amour physique, la fécondité, le respect de l’autre dans la liberté) que les époux découvrent ce qu’est l’amour de Dieu pour l’humanité : le don de soi sans réserve.

Depuis les origines le mariage est inscrit dans l’ordre de la Création. Le livre de la Genèse révèle l’intention du Créateur : susciter l’homme et la femme comme deux êtres capables de lier leur destin dans un amour intégral. Unis par leur relation d’amour au point d’être considérés comme « une seule chair », ils sont déclarés, l’un avec l’autre, image de Dieu et invités à vivre en ressemblance avec Dieu. C’est du Créateur qu’ils reçoivent mission de croître, de se multiplier et de dominer la terre. Le mariage est une réalité humaine importante, c’est cette réalité que l’Église a élevée à la dignité de sacrement.

Lorsque deux baptisés se marient, leur union est un sacrement parce qu’elle est une expression visible et un fruit effectif de l’union du Christ et de l’Église. « Le mariage des baptisés devient ainsi le symbole réel de l’Alliance nouvelle et éternelle, scellée dans le sang du Christ. L’Esprit, que répand le Seigneur, leur donne un cœur nouveau et rend l’homme et la femme capables de s’aimer, comme le Christ nous a aimés. L’amour conjugal atteint cette plénitude à laquelle il est intérieurement ordonné. » (Concile Vatican II : Familiaris Consortio – n° 13).

L'alliance

La bénédiction et la remise réciproque des deux « alliances » symbolisent très heureusement l’Alliance du Seigneur et de son peuple, à
l’intérieur de laquelle s’inscrit l’alliance sacramentelle de l’homme et de la femme.

Les quatre piliers

Comme tous les sacrements, la célébration du mariage comporte des paroles et des actes. Il est engagement, « serment », consentement. Pour être pleinement vécu l’amour des époux doit s’appuyer sur quatre piliers :

• la liberté : chacun des fiancés doit être pleinement libre au moment de son engagement,
• la fidélité : ils se promettent fidélité et cette promesse est source de confiance réciproque,
• l’indissolubilité : ils s’engagent pour toute leur vie, car le mariage crée un lien sacré entre les époux.
• la fécondité : ils acceptent d’être ouverts à la vie et d’accueillir avec amour les enfants qu’ils mettront au monde.

L’engagement prend place dans une célébration qui comporte au moins l’écoute de la Parole de Dieu, l’échange des consentements, le Notre Père et la bénédiction nuptiale. Cette célébration doit permettre aux époux de comprendre, vouloir et demander que leur engagement mutuel mette en lumière le mystère d’unité et d’amour fécond entre le Christ et l’Église.

Questions courantes

Nous voudrions nous marier à l’église, que faut-il faire ?
Avant de fixer la date et d’imprimer vos faire-parts, adressez-vous au presbytère d’Hettange-Grande si possible le mercredi après-midi,
où Mme Paulette Serra, responsable des mariages, vous inscrira et sera en mesure de répondre à toutes vos questions.
Le mariage est un engagement sérieux ; il est donc utile que vous preniez le temps de réfléchir avec d’autres. C’est ce que nous appelons
« la préparation au mariage ». Elle comporte une rencontre d’une journée (un dimanche) avec d’autres couples et deux rencontres avec le
diacre ou le prêtre qui célébrera votre mariage.

Les fiancés ont leurs horaires de travail et les prêtres ont des agendas chargés : de ce fait, pour envisager les rencontres, il convient
de s’y prendre au minimum six mois à l’avance.

Nous sommes divorcés, pouvons-nous nous remarier à l’église ?
Un divorce, c’est un amour qui meurt. Quand un mariage se casse, c’est comme si l’image de l’Amour de Dieu qu’il représente se déchirait.
Les catholiques sont toujours catholiques, car, au baptême, c’est Dieu qui fait alliance et Dieu ne change pas d’avis. L’Église à la
suite de Jésus, demande aux catholiques de ne pas se remarier, parce que dans le mariage, chacun promet d’aimer et d’être fidèle comme
Jésus l’a été, jusqu’à la mort. On ne peut pas être fidèle jusqu’à la mort plusieurs fois.

Je suis catholique, mais pas mon conjoint, peut-on se marier à l’église ?
Il est vrai qu’entre gens convaincus, les différences religieuses ne vont pas sans poser de problème à l’intérieur d’un couple. Mais elles
peuvent être, et sont souvent, l’occasion d’un approfondissement spirituel.
Une dérogation permet donc aux jeunes couples de pouvoir s’unir devant Dieu. Un dossier devra être envoyé à l’évêque (en lien avec le
prêtre qui prépare le couple) pour que celui-ci puisse autoriser le mariage.

Le sacrement des Malades

Lorsqu’un chrétien est affaibli par la maladie ou la vieillesse, ou s’il doit subir une opération importante, il peut recevoir le sacrement des malades pour l’aider à supporter ses souffrances. Le sacrement des malades est le sacrement du réconfort : c’est le Christ qui a souffert jusqu’à donner sa vie, vient porter avec lui ses propores souffrances et les offrir à Dieu. La maladie et la souffrance marquent la vie de tout homme, souvent de manière très aiguë, au point de pouvoir conduire à la révolte ou au désespoir. Par ailleurs le grand âge, à lui seul, comporte souvent des handicaps qui s’apparentent à la maladie. L’épreuve de la maladie favorise le souvenir des expériences et des choix qui ont marqué la vie. Elle peut raviver parfois le sentiment des erreurs commises et de leurs conséquences. Elle s’ouvre souvent sur une angoisse concernant le jour et l’heure de la fin. Le croyant s’interroge sur la fidélité de sa vie à l’Evangile. Il peut en venir à douter de la miséricorde de Dieu et la vie éternelle. Devant ces épreuves le Christ ne laisse pas ses fidèles démunis. Pour son Eglise et ceux qu’elle sert, il a voulu le sacrement de sa compassion. Dans l’onction des malades, le Christ associe, comme il le faisait durant sa vie terrestre, le souci du bien des corps et celui des biens spirituels. C’est pourquoi ce sacrement est un sacrement de guérison. Guérison intérieure d’abord, des angoisses, des doutes et des déchirements qu’apporte toute maladie grave ou une blessure corporelle sérieuse. Guérison physique parfois, car le Christ est toujours agissant dans son Corps qui est l’Eglise. Sur notre communauté de paroisses une célébration communautaire du sacrement des malades à lieu chaque année en l’église d’Hettange-Grande, le dimanche qui précède le 11 février, fête de Notre-Dame de Lourdes, journée internationale des malades, instituée par le pape Jean-Paul II.

Le prêtre se déplace également à domicile chez toute personne qui en fait la demande.

Le sacrement de Réconciliation

Le péché nous fait entrer dans le monde de “l’inter – dit”, le monde de ce qu’on ne dit pas. L’interdit est un monde sans parole. Un monde où toute bouche devrait rester fermée, toute lèvre scellée, serait un monde inhumain ne sécrétant que tristesse et désespoir, un univers clos, sans portes ni fenêtres, un monde lentement intoxiqué par le poison du remords parce qu’il ne peut crier son mal à Celui qui peut le sauver.

Ainsi, toute faute réclame son aveu. Celui qui a péché, s’il veut s’en sortir, n’a qu’une seule issue : dire ce qu’il a sur le cœur à celui qui, par son écoute, pourra briser sa solitude. C’est une délivrance que de pouvoir “dire” son mal. Ainsi le fils de l’Évangile (Luc 15, 21) : « Père, j’ai péché contre le ciel et contre toi… » Par l’aveu de son péché, l’homme redevient doué de
la parole et donc image du Dieu qui parle. C’est à quoi peut nous aider le sacrement de réconciliation…

Sur notre communauté de paroisses deux célébrations pénitentielles (sans absolution collective) sont proposées chaque année. Une pendant l’Avent et l’autre pendant le Carême.
En-dehors de ces célébrations, chaque samedi de 10h30 à 11h30, un prêtre est à votre disposition à l’église d’Hettange-Grande pour un temps de dialogue ou de réconciliation.

Questions courantes

Comment recevoir le pardon de Dieu ?
Celui qui désire recevoir le pardon de Dieu commence par relire sa vie à la lumière d’un texte de la Parole de Dieu (la Bible). Puis il va auprès d’un prêtre. Ensuite, avec l’aide du prêtre, il essaie de dire les paroles, les actions, les attitudes qui l’ont conduit loin de Dieu et de ses frères et sœurs. Il reconnaît que ce qu’il a fait est mal, qu’il veut, avec l’aide de Dieu essayer de changer ce qui ne va pas dans sa vie. Par une prière, il dit qu’il attend le pardon de Dieu. Le prêtre étend la main au-dessus de sa tête et dit par exemple : « Que Dieu notre Père vous montre sa miséricorde ; Par la mort et la résurrection de son fils, il réconcilie le monde avec lui et il a envoyé l’Esprit-Saint pour la rémission des péchés : par le ministère de l’Église, qu’il vous donne le pardon et la paix. Et moi, au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, je vous pardonne tous vos péchés. Amen. » Le prêtre termine en disant : « Allez en paix. »

Le prêtre peut-il répéter ce qui lui a été dit en confession ?
Le prêtre qui écoute ne répétera jamais à personne ce qu’on lui a dit. Ce qu’il entend au cours d’une confession est un secret qui n’est jamais dévoilé. Cf.Théo Junior Ed.Droguet & Ardant.

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