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Les sacrements

Que cherchez vous ?

• Baptême

Sacrement d'initiation

Le Christ a proposé le baptême à tous en disant à ses apôtres : « Allez donc : de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit ».
Évangile selon St Matthieu, 28, 19

Être baptisé, c’est être plongé dans l’amour de Dieu. Le baptême est la porte d’entrée dans l’Église, la famille des chrétiens, pour devenir enfants d’un même Père et frère de Jésus Christ par l’Esprit Saint.

Les 5 signes du baptême

  • La Croix : signe des chrétiens
  • L’eau : symbole de vie.
  • Le Saint Chrême : huile parfumée qui imprègne le baptisé de l’Esprit de Dieu.
  • Le vêtement blanc : le baptisé revêt le Christ.
  • Le cierge : lumière du Christ qui éclaire notre vie.

Demander le baptême de votre enfant

Pour demander le baptême de votre enfant, comme pour les enfants et adultes demandant le baptême, nous vous invitons à vous rendre au presbytère de Dieuze aux heures des permanences

Sur notre secteur il est possible de célébrer les baptêmes :

    • au cours, avant, ou après les messes du samedi soir,
    • à l’issue de la messe dominicale en l’église de Dieuze,
    • après la messe dominicale de 11h00 dans les villages.

• Confirmation

Sacrement d'initiation

« L’Esprit du Seigneur est sur moi parce qu’il m’a conféré l’onction pour annoncer la Bonne Nouvelle aux pauvres ». Évangile selon St Luc, 4, 18

Le mot « confirmation » d’origine latine veut dire « rendre fort ». Par ce sacrement, les chrétiens reçoivent la force de l’Esprit Saint qui leur donne le courage de vivre à la suite du Christ et les aide à être témoins de l’amour de Dieu.

Au cours de la célébration, l’évêque dit une parole très forte : « N., Sois marqué de l’Esprit Saint, le don de Dieu ».

Le confirmé est invité à vivre selon les fruits de l’Esprit Saint : « amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, foi, douceur, maîtrise de soi… ». Lettre de St Paul aux Galates, 5, 22

Sur notre archiprêtré l’initiation à ce sacrement est proposée :

  • Aux jeunes en 6ème  (Inscription en fin CM2)
  • Aux jeunes en 3ème (Inscription en fin 4ème)
  • Aux adultes.

 

• Eucharistie

Sacrement d'initiation

La nuit où il était livré, le Seigneur Jésus prit du pain, puis, ayant rendu grâce, il le rompit, et dit : « Ceci est mon Corps, qui est pour vous. Faites cela en mémoire de moi. »

Après le repas, il fit de même avec la coupe en disant : « Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang. Chaque fois que vous en boirez, faites cela en mémoire de moi ».
Première lettre de St Paul aux Corinthiens, 11, 23b – 25

Eucharistie vient d’un mot grec qui veut dire « rendre grâce ». Les chrétiens se rassemblent pour écouter la Parole de Dieu (la Bible) et recevoir la communion au Corps du Christ.

La Parole de Dieu et l’Eucharistie favorisent une relation personnelle et communautaire au Christ.

Au cours de la messe, on reçoit une force pour aimer à la manière de Jésus et devenir son disciple envoyé dans le monde.

Sur notre archiprêtré le parcours de la communion concerne les enfants en classe de CM1.

(Inscription en fin CE2)

• Le sacrement de réconciliation

Sacrement de guérison

Ce sacrement est le signe de l’amour infini de Dieu. Le pardon de Dieu est toujours possible, si nous faisons une démarche vraiment sincère. En se reconnaissant pécheur, nous croyons que l’amour infini de Dieu est toujours le plus fort. Le dialogue avec un prêtre est le signe efficace de la réconciliation avec Dieu et avec nos frères et sœurs.

Pourquoi se confesser à un prêtre et pas directement à Dieu ?

C’est Jésus qui a dit à ses apôtres : « Ceux à qui vous pardonnerez leurs péchés seront pardonnés ; ceux à qui vous ne les pardonnerez pas ne seront pas pardonnés » (Jean 20, 19-23).

Les apôtres et leurs successeurs – les évêques et les prêtres, leurs collaborateurs – deviennent les instruments de la miséricorde divine.

On est parfois découragé de se confesser en pensant que l’on recommencera les mêmes péchés ; le sacrement du pardon nous met dans l’humilité devant le Seigneur qui nous aime malgré notre faiblesse et cette rencontre est essentielle.

Qu’est-ce que le péché ?

Le péché est une offense faite à Dieu : « Contre toi, toi seul, j’ai péché. Ce qui est mal à tes yeux, je l’ai fait » (Ps 51, 6). Le péché se dresse contre l’amour de Dieu pour nous, et en détourne nos cœurs. Catéchisme de l’Église catholique (§ 1849, 1850).

Le péché est un manque d´amour envers Dieu, envers son prochain et envers soi-même. C’est une action, ou une intention, voire une parole dite, en toute liberté, pour commettre le mal. Il entraîne, pour celui qui l’a commis un éloignement de la justice, de la vérité, de Dieu qui est amour.

Petite méditation :

Ceux qui pardonnent sont les guérisseurs de l’humanité.
Plutôt que de ressasser l’offense ou le dommage, plutôt que de rêver de revanche ou de vengeance, ils arrêtent le mal à eux-mêmes. Ils en épuisent le venin.
Alors qu’ils pourraient garder le poing serré, ils ouvrent des mains généreuses.

Au creuset de leur cœur, la souffrance et la rancune finissent par être submergées par la bonté.

Pardonner… c’est l’acte le plus puissant qu’il soit donné aux hommes d’accomplir.
L’événement qui aurait pu faire grandir la brutalité dans le monde sert à la croissance de l’amour.

Les êtres blessés qui pardonnent transforment leur propre blessure. Ils guérissent – là où ils sont – la plaie qui défigure le visage de l’humanité depuis ses origines : la violence.

L’homme qui pardonne ressemble à Jésus.
L’homme qui pardonne rend Dieu présent.

Gérard Bessière

Pour aller plus loin : https://eglise.catholique.fr/approfondir-sa-foi/

• Le sacrement des malades

Sacrement de guérison

Lorsqu’un chrétien est affaibli par la maladie ou la vieillesse, ou s’il doit subir une opération importante, il peut recevoir le sacrement des malades pour l’aider à supporter ses souffrances. Le sacrement des malades est le sacrement du réconfort : c’est le Christ qui rejoint celui qui souffre dans son corps ou dans son cœur. Le Christ qui a souffert jusqu’à donner sa vie, vient porter avec lui ses propres souffrances et les offrir à Dieu.

La souffrance

Quand une personne est gravement malade, la souffrance risque de la détourner de Dieu ; elle peut penser : « Si Dieu existait vraiment, si Dieu m’aimait, il ne me laisserait pas souffrir de la sorte ».

Or Dieu ne veut pas la souffrance. Les Apôtres ont vu Jésus pleurer la mort de son ami Lazare ; la veille de sa propre mort, il a prié pour que la souffrance s’éloigne de lui. Puis, il a accepté cette souffrance et l’a offerte à Dieu, son Père. Dieu souffre avec celui qui souffre, pleure avec celui qui pleure.

Le sacrement des malades aide le malade à donner un sens à sa souffrance. À travers ce sacrement, Dieu l’aide et lui donne le courage de surmonter cette épreuve.

Le sacrement des malades, même s’il ne supprime pas la souffrance, apporte :

  • Le réconfort, la paix et le courage de supporter les souffrances  de la maladie ou de la vieillesse.
  • La force et le don de s’unir aux souffrances de Jésus.
  • Le pardon des péchés.

Le chrétien reçoit le sacrement des malades par une imposition des mains, en silence, puis par l’onction d’huile sur le front et à l’intérieur des mains, accompagnée d’une prière : « Par cette Onction Sainte, que le Seigneur, en sa grande bonté, vous réconforte par la grâce de l’Esprit Saint. Ainsi vous ayant libéré de tous péchés, qu’il vous sauve et vous relève. »

Comme tout sacrement, l’onction des malades est une rencontre du chrétien avec Dieu. Et cette rencontre va transformer le malade, va changer son cœur, même s’il ne guérit pas dans son corps.

Jésus dit dans l’Évangile : « Venez à moi vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai. Oui, mon joug est facile à porter et mon fardeau léger. »  Évangile selon St Matthieu, 11, 28 – 30

Comment recevoir le sacrement des malades ?

Le malade ou la personne âgée peut recevoir ce sacrement de deux façons :

– Soit au cours d’une célébration communautaire sur l’archiprêtré ou lors d’un pèlerinage.

– Soit seul ou mieux, entouré de sa famille et de ses amis, chez lui ou à l’hôpital.

• Le sacrement du mariage

Sacrement de service

Le mariage est un sacrement. C’est à travers leur amour mutuel, dans toutes ses dimensions (partage des bons et des mauvais moments, union des cœurs et des corps, fécondité, respect de l’autre…) que les époux découvrent ce qu’est l’amour de Dieu pour l’humanité : le don de soi sans réserve.

Pour les chrétiens, le mariage se fonde sur l’amour entre un homme et une femme. Il est aussi le signe de l’amour de Dieu pour les hommes, signe de son Alliance.

Quand deux chrétiens s’aiment, ils croient que Dieu est la source de leur amour et qu’il sera à leur côté pour leur donner la force de s’aimer. Au cours d’une belle fête, à l’église, ils se promettent de s’aimer toujours, même dans les moments difficiles, avec l’aide de Dieu. Le Christ lui-même s’engage et leur donne son amour et sa fidélité. Leur alliance devient signe de l’Alliance de Dieu avec les hommes, signe des noces du Christ et de son Église. À travers leur amour, c’est un peu comme si l’amour de Dieu devenait visible. Leur amour devient image de l’amour de Dieu.

Comment faire pour se marier à l’église ?

Contacter le presbytère de Dieuze  aux heures des permanences  afin de fixer avec vous la date et le lieu.

Il est bon de s’y prendre un an avant.

• L’ordination

Sacrement de service

En attente…

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