Présentation du diocèse

Le diocèse de Metz correspond au département de la Moselle (6 216 km²) qui comprend 730 communes pour une population de 1 043 524 habitants. L’organisation pastorale est subdivisée en 649 paroisses rassemblées en 133 communautés de paroisses, elles-mêmes regroupées en 34 archiprêtrés.

De par sa situation géographique, le diocèse de Metz est un carrefour de l’Europe (le département de la Moselle est frontalier avec le Luxembourg, la Belgique et l’Allemagne). Il entretient des liens étroits avec les diocèses voisins notamment ceux de Luxembourg, de Trèves, de Spire.

Au 1er janvier 2022, le diocèse de Metz bénéficie du concours de :
• 254 prêtres (diocésains, fidei donum et religieux)
• 50 diacres permanents
• 142 animateurs laïcs en pastorale (ALP)

L’histoire du diocèse

Fondée aux alentours de 280 par saint Clément,
l’Église de Metz est l’une des plus anciennes Églises de France.

Liste des évêques de Metz

  1. S. Clément
  2. S. Céleste
  3. S. Félix I
  4. S. Patient
  5. S. Victor I
  6. S. Victor II (346)
  7. S. Siméon
  8. Sambace
  9. S. Ruf
  10. S. Adelphe
  11. S. Firmin
  12. S. Légonce
  13. S. Auctor (451?)
  14. (S.) Explèce
  15. S. Urbice
  16. (S.) Bonole
  17. S. Térence
  18. (S.) Consolin
  19. S. Romain
  20. S. Phromnime ou Frémin
  21. S. Gramace
  22. S. Agathimbre
  23. S. Hespérius (535)
  24. S. Villicus (550)
  25. S. Pierre I (580)
  26. (S.) Aigulphe (601)
  27. S. Arnoald
  28. S. Pappole (608-614)
  29. S. Arnould (614-629) ; + 641
  30. S. Goëri, nommé aussi Abbon I (629-644?)
  31. S. Godon
  32. S. Clou (656-694?)
  33. S. Abbon II (707?)
  34. (S.) Aptat
  35. (S.) Félix II
  36. S. Sigebaud (- 741)
  37. S. Chrodegang (742-766), archevêque
  38. (S.) Angilramne (768-791), archevêque
  39. S. Gondolphe (819-822)
  40. S. Drogon (823-855), archevêque
  41. Advence (858-875)
  42. Wala (876-882), archevêque
  43. Robert (883-917)
  44. Vigeric (917-927)
  45. (S.) Bennon (927-929) ; + 940
  46. Adalbéron I (929-962)
  47. (B.) Thierry I (965-984)
  48. (B.) Adalbéron II (984-1005)
  49. Thierry II de Luxembourg (1006-1047)
  50. Adalbéron III de Luxembourg (1047-1072)
  51. Hériman (1073-1090)
  52. Poppon appelé aussi Burchard (1090-1103)
  53. Adalbéron IV (1103-1117)
  54. (S.) Théotger (1118-1120)
  55. Etienne de Bar, cardinal (1120-1162)
  56. Thierry III de Bar (1163-1171)
  57. Frédéric de Pluyose (1171-1179)
  58. Thierry IV de Lorraine(1173-1179)
  59. Bertram (1180-1212)
  60. Conrad de Scharfeneck (1212-1224)
  61. Jean I d’Apremont (1224-1238)
  62. Jacques de Lorraine (1239-1260)
  63. Philippe de Florange (1261-1263) ; + 1297
  64. Guillaume de Trainel (1264-1270)
  65. Laurent de Lichtenberg(1270-1279)
  66. Jean II de Flandre (1279-1282) ; + 1292
  67. Bouchard d’Avesnes (1282-1296)
  68. Gérard de Relange (1297-1302)
  69. Renauld de Bar (1302-1316)
  70. Henri I Dauphin de la Tour (1319-1325) ; + 1328
  71. Louis de Poitiers (1325-1327)
  72. Adémar de Monteil (1327-1361)
  73. Jean III de Vienne (1361-1365) ; + 1382
  74. Thierry V Bayer de Boppard (1365-1384)
  75. a. Pierre de Ligny-Luxembourg, cardinal (1384-1387)
  1. b.Thilmann Vuss de Bettembourg (1384-1399 ?)
  2. Raoul de Coucy (1387-1415) ; + 1424
  3. Conrad II Bayer de Boppard (1414-1459)
  4. Georges I de Bade (1459-1484)
  5. Henri II de Lorraine-Vaudémont (1484-1505)
  6. Jean IV de Lorraine-Vaudémont, cardinal (1505(1518)-1543 ;1548-1550)
  7. Nicolas de Lorraine-Vaudémont (1543-1548) ; + 1577
  8. Charles I de Lorraine-Guise,cardinal (1550-1551 ; 1555) ; + 1574
  9. Robert de Lenoncourt, cardinal (1551-1555) ; + 1561
  10. François de Beaucaire de Péguillon (1555-1568) ; + 1591
  11. Louis de Lorraine-Guise, cardinal (1568-1578)
  12. Charles II de Lorraine-Vaudémont, cardinal (1578-1607)
  13. Anne de Perusse d’Escars de Givry,cardinal (1608-1612)
  14. Henri III de Bourbon-Verneuil (1612-1652) ; + 1682 (6)
  15. Georges II d’Aubusson de la Feuillade (1668-1697)
  16. Henri-Charles de Cambout de Coislin (1697-1732)
  17. Claude de Rouvroy de Saint-Simon (1733-1760)
  18. Louis-Joseph de Montmorency-Laval, cardinal (1761-1802) ; + 1808
  19. Pierre-François Bienaimé(1802-1806)
  20. Gaspard-Jean-André-Joseph Jauffret (1806-1823)
  21. Jacques-François Besson(1824-1842)
  22. Paul-Georges-Marie Dupont des Loges (1843-1886)
  23. François-Louis Fleck (1886-1899)
  24. Willibrord Benzler (1901-1919) ; + 1921
  25. Jean-Baptiste Pelt (1919-1937)
  26. Joseph-Jean Heintz (1938-1958)
  27. Paul-Joseph Schmitt (1958-1987)
  28. Pierre Raffin (1987-2013)
  29. Jean-Christophe Lagleize (2013)
  30. Philippe Ballot (2022)

L’Église de Metz est fondée aux alentours de 280 par saint Clément, venu peut-être de Rome par la grande voie marchande qui, de Lyon, menait en Germanie. Dans les années qui suivirent, le christianisme se répand largement dans et hors la ville de Metz, de sorte que, au Vème siècle, il conservait allant et vigueur malgré le sac de Metz par Attila (451), lequel avait anéanti toutes les églises de la cité, sauf l’oratoire de Saint-Étienne, ancêtre de l’actuelle cathédrale.

Lorsque Metz devint la capitale effective de l’Austrasie (567), l’évêché comprenait en gros le département actuel de la Moselle, moins les régions de Sierck-Aumetz et Dabo-Phalsbourg, mais avec Pont-à-Mousson, Nomeny, Briey-Mars-la-Tour, Sarrebrück-Pirmasens et la plus grande partie de l’Alsace dite bossue. Avec Toul et Verdun, il dépendait de la métropole de Trèves.

Sous les Carolingiens, grâce à saint Chrodegang et à Drogon, le diocèse connaît une des plus brillantes périodes de son histoire : les paroisses urbaines et rurales se multiplient et les monastères soumis aux règles de saint Colomban et de saint Benoît s’implantent des rives de la Moselle à celle de la Sarre et de la Blies. Saint Chrodegang, légat pontifical pour le royaume des Francs (754), attache son nom à une règle canoniale, à la réforme de la liturgie et à celle du chant religieux.

Jusqu’au XIème siècle, l’Église de Metz garda une belle vitalité : les pèlerinages aux sanctuaires messins attirent des foules de plus en plus denses, les traditions de l’école liturgique messine, jadis illustrée par Amalaire, sont maintenues, une activité artistique remarquable fait surgir une série d’édifices aujourd’hui disparus, en particulier les abbatiales de Saint-Vincent et de Saint-Arnoul.

Par la suite, la Querelle des Investitures et les luttes politiques messines accaparent le plus souvent les énergies des évêques, qui s’établirent à Vic dans la résidence construite par l’évêque Bertram (1180-1212), qui avait séparé le temporel du spirituel et accordé à Metz sa charte de franchise.

C’est cependant durant cette période que Jacques de Lorraine fonde les collégiales de Vic, Hombourg-Haut et Sarrebourg. Cent ans plus tard (1360), le diocèse comprend 11 chapitres, 40 abbayes ou prieurés, 461 églises paroissiales.

Sa situation géographique exposa très tôt le diocèse à la réforme protestante. Cependant, à part quelques paroisses situées dans les principautés de la Sarre, la réforme ne réussit pas à s’implanter dans le diocèse, malgré les efforts d’un Toussaint ou d’un Farel. Toutefois, après le rattachement de Metz à la France (1552), le calvinisme, tour à tour toléré et interdit, obtient un certain succès parmi la bourgeoisie catholique. Le Concile de Trente, pour y remédier, prit diverses mesures et facilita l’implantation d’ordres religieux nouveaux ; dans le diocèse, ce fût notamment le cas à Metz, Vic, Thionville et Sarrebourg. Un peu plus tard, Bossuet, chanoine de Metz et grand doyen, encouragea les congrégations de la Propagation de la Foi et de la Mission en vue de ramener à l’Église catholique les transfuges du moment.

Les évêques du XVIIIème siècle, issus souvent de grandes familles du royaume, sont des bâtisseurs : Rouvroy de Saint-Simon fonde le grand séminaire en 1748 et de Montmorency-Laval entreprend la construction d’un évêché que la Révolution vient interrompre.

Après la Révolution, le diocèse, qui engloba d’abord les évêchés actuels de Reims et de Luxembourg, se réduisit finalement (1823) aux limites du département de la Moselle d’alors et fut rattaché à la métropole de Besançon. L’activité énergique de Jauffret le releva de ses ruines et lui donna une structure qui facilita grandement la tâche de se successeurs, soucieux de maintenir la foi dans une région transformée très rapidement par la révolution industrielle.

Soucieux de restaurer la paix civile et religieuse en France, le Premier consul Napoléon Bonaparte établit un concordat avec le pape Pie VII, le 26 messidor An IX (15 juillet 1801). Ratifié le 23 fructidor An IX, ce traité est promulgué par la loi du 18 germinal An X (8 avril 1802), en même temps qu’un ensemble de dispositions qui lui sont attachées, les articles organiques. Ces derniers sont décidés unilatéralement par le gouvernement français. Au total, durant le XIXe siècle, quatre cultes sont reconnus, puisqu’outre l’Église catholique, l’Église Réformée, celle de la confession d’Augsbourg et le culte israélite connaissent ce même mode d’organisation. Juridiquement, ces cultes sont alors en charge d’un service public, auquel l’État alloue un budget.

Jusqu’en 1870, de nombreux textes législatifs et la pratique du Conseil d’État continuent d’enrichir le corpus du droit cultuel français. À propos de l’Église catholique, on peut citer pêle-mêle quelques aspects de ce droit, comme le redécoupage des diocèses français, la nomination des évêques par le gouvernement, la rétribution des ministres du culte par l’État, la création d’établissements publics destinés notamment à la gestion matérielle de l’Église (menses épiscopales et curiales, bureaux des séminaires, fabriques paroissiales et chapitres cathédraux), un statut particulier pour les congrégations religieuses, ou encore les règles régissant l’enseignement.

Le 3 septembre 1870, la défaite de Sedan précipite la fin du conflit franco-prussien et la chute du Second Empire. En 1871, le traité de Francfort entraîne l’annexion de l’Alsace et de la Moselle au tout nouvel empire d’Allemagne. Très vite, on pose la question du statut des cultes dans les territoires annexés. Le concordat – traité de droit international – ne pouvait théoriquement s’appliquer sur un territoire ne relevant plus de la souveraineté de l’un des signataires. En outre, l’article 17 du concordat prévoyait la renégociation des accords obtenus, au cas où le successeur du Premier consul ne soit pas catholique, ce qui est le cas de l’empereur d’Allemagne. En définitive, par accord tacite entre l’Allemagne et le Saint-Siège, l’ensemble du régime cultuel français est maintenu dans les trois départements annexés. Durant toute cette période, le législateur complète ou modifie les dispositions existantes, par des lois spécifiques au Reichsland Elsass-Lothringen ou applicables à l’ensemble de l’empire.

Soucieux de restaurer la paix civile et religieuse en France, le Premier Consul Napoléon Bonaparte établit un concordat avec le pape Pie VII, le 26 messidor An IX (15 juillet 1801). Ratifié le 23 fructidor An IX, ce traité est promulgué par la loi du 18 germinal An X (8 avril 1802), en même temps qu’un ensemble de dispositions qui lui sont attachées, les articles organiques. Ces derniers sont décidés unilatéralement par le gouvernement français. Au total, durant le XIXe siècle, quatre cultes sont reconnus, puisqu’outre l’Eglise Catholique, l’Eglise Réformée, celle de la Confession d’Augsbourg et le culte Israélite connaissent ce même mode d’organisation. Juridiquement, ces cultes sont alors en charge d’un service public, auquel l’Etat alloue un budget.

Jusqu’en 1870, de nombreux textes législatifs et la pratique du Conseil d’Etat continuent d’enrichir le corpus du droit cultuel français. A propos de l’Eglise Catholique, on peut citer pêle-mêle quelques aspects de ce droit, comme le redécoupage des diocèses français, la nomination des évêques par le gouvernement, la rétribution des ministres du culte par l’Etat, la création d’établissements publics destinés notamment à la gestion matérielle de l’Eglise (menses épiscopales et curiales, bureaux des séminaires, fabriques paroissiales et chapitres cathédraux), un statut particulier pour les congrégations religieuses, ou encore les règles régissant l’enseignement.

Le 3 septembre 1870, la défaite de Sedan précipite la fin du conflit franco-prussien et la chute du Second Empire. En 1871, le traité de Francfort entraîne l’annexion de l’Alsace et de la Moselle au tout nouvel Empire d’Allemagne. Très vite, on pose la question du statut des cultes dans les territoires annexés. Le concordat – traité de droit international – ne pouvait théoriquement s’appliquer sur un territoire ne relevant plus de la souveraineté de l’un des signataires. En outre, l’article 17 du concordat prévoyait la renégociation des accords obtenus, au cas où le successeur du Premier Consul ne soit pas catholique, ce qui est le cas de l’Empereur d’Allemagne. En définitive, par accord tacite entre l’Allemagne et le Saint-Siège, l’ensemble du régime cultuel français est maintenu dans les trois départements annexés. Durant toute cette période, le législateur complète ou modifie les dispositions existantes, par des lois spécifiques au Reichsland Elsass-Lothringen ou applicables à l’ensemble de l’Empire.

L’annexion allemande (1870 – 1918) tint le diocèse à l’écart des grandes luttes scolaires et laïques de la Troisième République.

En 1918, la fin du premier conflit mondial entraîne le retour des départements du Rhin et de la Moselle à la France. Toutefois, l’histoire religieuse de cette dernière a connu des bouleversements durant toute la période de l’Annexion. Le 9 décembre 1905, le Parlement a voté la loi dite de séparation des Églises et de l’État. Si le principe du libre exercice des cultes y est affirmé, les cultes perdent en revanche toute reconnaissance de la part de l’État. Dans ce contexte, l’attachement des Alsaciens-Mosellans au particularisme juridique et culturel local, la supériorité technique de certaines dispositions législatives en matière de sécurité sociale, de droit notarial ou commercial par exemple, font que la réintroduction du droit civil français ne peut se faire sans certains aménagements. C’est ainsi que la loi civile du 1er juin 1924 permet le maintien des dispositions du droit local cultuel, à titre transitoire…

Entre 1940 et 1944, l’annexion de fait par le IIIème Reich allemand entraîne la suppression du système juridique des cultes en Alsace et Moselle, qui sera rétabli à la Libération, par une ordonnance du 15 septembre 1944, sous sa forme antérieure. Depuis, quelques textes ont modifié le corpus juridique, principalement pour permettre l’ajustement de certaines dispositions devenues inopérantes. Comme le Conseil d’État l’affirme dans un avis du 24 janvier 1925, le « régime concordataire », tel qu’il résulte de la loi du 18 germinal an X (8 avril 1802), continu d’être applicable dans les départements de l’Alsace et de la Moselle.

Il faut préciser qu’à côté des cultes « reconnus », les autres cultes voient leur organisation régie par les lois locales sur les associations, notamment la loi allemande d’avril 1908.

Depuis 1919, et surtout entre 1945 et 1973, le diocèse de Metz s’est calqué sur une Moselle en pleine expansion. Il atteint aujourd’hui le million d’habitants. Les évêques, qui se sont succédés sur le siège de saint Clément durant ce demi-siècle, se sont efforcés de susciter une foi vivante au Christ en créant de nouvelles paroisses urbaines, en développant l’apostolat des laïcs, en insérant les religieuses dans la pastorale d’ensemble, en s’efforçant de promouvoir une formation des prêtres et des futurs prêtres plus adaptée à une situation missionnaire.

En 1970, sous l’épiscopat de Mgr Schmitt, est créé le Centre autonome d’enseignement de pédagogie religieuse (CAEPR) pour la formation des prêtres et des laïcs.

En 1973, le département de la Moselle est frappé de plein fouet par la crise de la sidérurgie. Alors que toutes les mines de fer sont maintenant fermées, de nombreux efforts sont tentés pour réindustrialiser la Lorraine. Si le chiffre des habitants de la Moselle est resté à peu près le même, cette population a vieilli. Certains secteurs sensibles de la Moselle souffrent des méfaits de la drogue et de la violence des jeunes.

L’Église de Moselle cherche à prendre la mesure de ces problèmes et à apporter des réponses appropriées. Elle l’a fait notamment au cours de l’année jubilaire 2000 en se dotant d’un projet pastoral diocésain. Tandis que les ordinations presbytérales diminuent, les ordinations diaconales, un moment plus nombreuses, se maintiennent au rythme d’une ou deux tous les deux ans ; par ailleurs, les fidèles laïcs sont de plus en plus associés à la responsabilité pastorale de l’Église. En 2001-2002, les 649 paroisses du diocèse ont été regroupées en 137 communautés de paroisses prises en charge par un ou plusieurs prêtres et une équipe d’animation pastorale. Aujourd’hui, le diocèse compte 134 communautés de paroisses.

Loin de s’arrêter à des considérations moroses et pessimistes, le diocèse de Metz a pris résolument le parti de l’espérance en s’attachant à proposer la foi dans la société actuelle, notamment par la promulgation du Projet global de catéchèse en 2011.

Le 24 juin 2018, après une démarche de type synodale, Mgr Lagleize a promulgué un nouveau projet pastoral diocésain intitulé Une Église de disciples-missionnaires : projet pour une conversion pastorale et missionnaire de l’Église en Moselle. Le 24 mai 2021, des Orientations pastorales sont promulguées, à l’occasion de la clôture liturgique de l’année jubilaire pour les 800 ans de fondation de la cathédrale gothique St Etienne de Metz. Mgr Lagleize consacre aussi ce jour-là le diocèse de Metz à saint Joseph, créant 5 sanctuaires diocésains où son culte sera particulièrement encouragé.

Le 13 août 2021, le pape François accepte la démission de Mgr Lagleize pour raison de santé et nomme Mgr Jean-Pierre Vuillemin, jusqu’alors évêque auxiliaire comme administrateur apostolique.

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